Le corps et l'ombre

1836, Victor Hugo, accompagné de sa maîtresse, s’arrête à Barfleur (Normandie) et y loue une barque pour admirer le coucher de soleil sur l’océan. Las, le maire Barfleur s’y oppose.

Dans une lettre à sa femme datée du 6 juillet 1836, il conclut :

« En général, en France, on abandonne trop volontiers la liberté, qui est la réalité, pour courir après l’égalité, qui est la chimère. C’est assez la manie française de lâcher le corps pour l’ombre. »

Comme quoi, plus ça change…

2 commentaires:

  1. La liberté est malheureusement aussi une chimère...quand à la l'égalité... des hommes...des hommes ?! ...c'est possible...oui tout est possible pour leur système morbide! L'ombre vers la noirceur...

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